Au sud du Cantal, existe un pays de cocagne où un arbre fournit aux hommes bois, nourriture et bien plus encore. Ce pays c’est la Châtaigneraie antalienne, que l’on peut découvrir en visitant la Maison de la châtaigne de Mourjou. Ce très bel espace muséographique est maintenant doté d’un film qui décrit la vie et les activités liées au fruit prodige, la châtaigne.
Les insectes sont la nourriture de l’avenir! C’est en tout cas le pari de la première entreprise européenne de production d’insectes comestibles, dans laquelle j’ai baladé mes appareils photos au mois de mars 2013. Micronutris a beaucoup fait parler d’elle avec son concept alimentaire innovant, savoureux et écologique, mais la production d’insectes à une échelle semi-industrielle n’est pas un long fleuve tranquille. Reportage!
L’agence Biosphoto m’a récemment fait l’honneur de m’ouvrir ces portes. Mes photos sont donc dorénavant distribuées aux professionnels par les soins de la fameuse agence du Vaucluse. Néanmoins, les professionnels peuvent toujours en acquérir les droits directement auprès de leur auteur par l’intermédiaire de ce site.
Notre connaissance des champignons est menacée, c’est le constat que fait Guillaume Eyssartier, l’un des rares mycologues professionnel de France.
« Un moment mycologique » est un petit film tourné à l’occasion des dernières journées mycologiques de Haute-Auvergne (Riom-ès-montagne, 26 sept.-1er oct. 2012), qui n’a qu’un seul objectif : promouvoir la pratique de la mycologie (la science des champignons) au sein d’associations, afin de préserver et d’accroître la connaissance ce groupe biologique incroyablement diversifié.
Version HD disponible pour diffusion publique sur demande.
En ce début d’année, je vous adresse, chers visiteurs, mes pensées les plus chaleureuses. Si réaliser nos rêves et ce à quoi nous aspirons tous, il ne sera peut-être pas aisé d’y arriver 2013, tant le contexte est difficile en ce moment. Je vous souhaite donc de passer la meilleure année possible, et d’être préservés des malheurs qui sont les avatars de la vie.
Le secteur du film et de la photographie n’est pas épargné par le marasme, bien au contraire. Malgré ce contexte, je ne peux me plaindre. L’année 2013 s’annonce déjà comme chargée…
Côté vidéo, il y aura la réalisation de deux films institutionnels, mais aussi, la poursuite, au printemps, du tournage de La Sterne et le Paludier dans les marais salants de Guérande.
Côté photo, la saison des mariages se prépare et d’ores-et-déjà quelques dates se dessinent. Les mariages sont l’une de mes principales activités en photographie. Je prends un grand plaisir à en faire les reportages photo. Aucun mariage n’est identique, c’est à chaque fois la rencontre de nouvelles personnes, la découverte de nouvelles cultures et identités. Alors si vous allez vous marier, ou connaissez quelqu’un qui va se marier, n’hésitez pas à lui transmettre mon contact. Je me ferai un plaisir de lui transmettre les informations et les tarifs.
Voilà pour ce mot de rentrée, en espérant avoir le plaisir de vous rencontrer, de vous connaître, ou de vous revoir en 2013. Bonne année !
La photo du jour, c’est ce Grimpereau des bois Certhia familiaris, qui s’est laissé prendre dans les filets que le bagueur Fabrice Gevenois avaient méticuleusement installés dans une saulaie à 1130 mètres d’altitude, autour d’un lac du Haut-Cantal. Le Grimpereau des bois vit principalement à la verticale, le long des troncs d’arbres sur lesquels il grimpe grâce à ses ongles d’une longueur démesurée. Les troncs des sapins et des hêtres, notamment, sont riches en insectes dont il se nourrit, mais ils lui offrent également le gîte. Le grimpereau a ainsi la particularité d’édifier son nid sous un morceau d’écorce décollé, contre le tronc. Le Grimpereau des bois est une espèce montagnarde quasiment indiscernable à l’oeil nu de sa cousine des plaines, le Grimpereau des jardins Certhia brachydactyla.
Comme chez beaucoup d’espèces proches, le principal critère d’identification est le chant. La taille des tâches blanches présentes au bout des plumes de vol (les rémiges) du Grimpereau des bois, plus importante que chez son cousin des jardins, ne peut-être évaluée qu’avec l’oiseau en main.
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C’est l’histoire d’une cohabitation rare et fructueuse entre la Nature et l’Homme, que je souhaite raconter, à travers mon projet de film intitulé La Sterne et le Paludier. Actuellement en cours de tournage dans les marais salants de Guérande, ce film mettra en images la relation entre les paludiers, qui récoltent le sel de mer de manière artisanale, et d’élégants oiseaux qui nichent dans leurs exploitations. En voici les premières images.